Prix collégial du cinéma québecois

Laurence Anyways : Wow! Un film très impressionnant. Xavier Dolan a réussi a parler de sujet tabou sans que ça deviennent trop lourd ou que ça soit ridiculisé. À la base, le film n'est qu'une relation amoureuse, mais je crois qu'il y a tellement plus à retenir de se film là. J'ai trouvé seulement un peu la fin un peu cliché. 

Over my dead body : C'est un documentaire très touchant sur l'état de Dave St-Pierre. C'est inspirant de le voir surmonter tout cela et de vouloir continuer à chorégraphier même avec sa maladie. Avec le film on comprend mieux son univers et son rapport avec la nudité de ses chorégraphie. On rentre complètement dans son monde à lui. 

Camion : Un film très différent de ce que l'on est habitué de voir. C'est simplement la vie des personnages. C'est facile de s'identifier à un personnage puisque c'est tout à fait réel ce qu'il leur arrive. J'ai trouvé que le film à passé vite. J'ai aimé la fin qui laisse place à notre imagination pour choisir ce qu'il va arriver par la suite au personnage puisque la fin est ouverte.

Roméo11 : J'ai trouvé que le film avait plusieurs longueurs. Il n'y avait pas beaucoup de dialogues. À la base l'histoire est intéressant, mais mal amené. On dirait que l'ont s'y attendait que ce ne soit pas la fille qu'il rencontre. Il n'y avait pas de suspense ou on était pas vraiment surpris que ça lui arrive.

Rebelle : Un film très touchant. Plusieurs belles images et parlent de la réalité de ce qui se passe avec les rebelles en Afrique. J'ai aimé le fait que ce ne soit pas amené de façon dégueulasse quand le monde mourrait. Ce que j'ai moins apprécié est le fait que le film est encore sur un enfant qui réussi à sortir des rebelles et qui a une fin heureuse. C'est rare les film qu'on aurait vu que pour l'enfant les rebelles devient réellement sa famille et que pour lui c'est normal de tuer, ce qui doit arriver plus souvent que l'enfant qui réussi de s'en sauver. 

L'homme à la caméra

Critique : J'ai trouvé le film très intéressant. Il y avait plusieurs beaux plans de caméra. Cependant, selon moi il était un peu long puisqu'il n'y avait aucun dialogue ou mise en scène, donc il y avait un peu de longueur. Des fois j'avais l'impression que c'était seulement plusieurs plans de caméra mis un après l'autre. De voir le cinéma d'ailleurs et l'influence que Dziga Vertov a eu est impressionnant. Je crois que c'est vraiment un film à voir. 

Cinéma Russe

Dziga Vertov : 
Biographie : Il est né le 2 janvier 1896 et il est mort le 12 février 1954. Son vrai nom est Denis Arkadiévitch Kaufman. Son surnom signifie toupie qui tourne. Il a étudié la musique au conservatoire très jeune par la suite, il a étudié la médecine. Il fait beaucoup de film qui parle d'actualité. En 1919 il en a déjà une quarantaine de fait.
Ce qu'il a laissé en héritage : Le cinéma-oeil. Aucune scénario, aucun décors ou mise en scène. Il film tout simplement ce qu'il voit. Selon lui, la caméra est un perfectionnement de l'oeil humain qui est lui-même imparfait.

Lev Kuleshov :
Biographie : Il est né le 1er janvier 1899 et est mort le 30 mars 1970. Il a dirigé l'école de cinéma de Moscou, où il crée un laboratoire pour expérimenté le montage presque scientifiquement. Il a étudier la peinture à l'école des beaux-arts. Il va devenir chef des actualités auprès de l'armée rouge. Durant sa carrière, il essai de dégagé les lois de l'art cinématographique 
Ce qu'il a laissé en héritage : L'effet Kuleshov. Il montre que le montage est plus important que les acteurs. 

Sergei Eisenstein : 
Biographie : Il est né le 10 janvier 1898 et est mort le 11 février 1948. Il est metteur en scène et décorateur au théâtre. C'est en 1923 qu'il commence le cinéma avec un film burlesque. Il a dessiner toute sa vie dont seulement une partie on été publié. Il a aussi été un grand théoricien. Cependant la plupart ne sont pas traduit en français.
Ce qu'il a laissé en héritage : Le montage des attractions. C'est un assemblage de scène ayant un fort impact visuel.  

Je t'aimerai toujours Phillip Moris

Date de sortie : 18 février 2011 aux États-Unis

Résumé :  Steven apprend tout jeune qu’il a été adopté. Il devient policier pour essayer de retrouver sa mère, avec aucun succès. Suite à cela, il déménage avec sa femme et sa fille. Il fait des fraudes avec ses assurances pour se retrouver en prison. Il rencontre l’homme de sa vie, Phillip Morris. Par plusieurs mensonges et stratagèmes, il réussi à se sortir de prison et Phillip aussi. Il continu d’arnaquer dans son nouvel emploi et se retrouve à plusieurs reprise en prison. En essayant de se rattraper avec Phillip.

 

Caractéristique du burlesque : 

Le jeu physique et la rapidité des mouvements : aucun

Bastonnade : Steven se lance en bas d’un escalier roulant pour avoir de l’argent des assurances.

Gag : Steven sauté en bas d’un ... pour tomber dans les poubelles pour amortir sa chute, mais tombe juste à côté.

Slapstick : Sur une entrée d’église il est inscrit : «Virginia beach church of God bless America».

Running Gag : Steven fait faire la visite à un nouveau en prison. Il lui explique comment ça fonctionne et à 3 reprises il dit : «…. Ou tu lui suce la queue» quand ils ont besoin de quelque chose.

Critique : Je n'ai pas trouvé le film excellent, mais je ne l'ai pas trouvé si mauvais non plus. Ce n'est pas vraiment mon genre d'humour ni mon genre de film. Je l'ai quand même apprécier et c'est quand même un scénario original. Quelque fois assez prévisible, donc des blagues qui sont assez connus dont on connait à la suite. 

Buster Keaton

Filmographie : 
Amour poste restante 1949
Le figurant 1929
Le caméraman 1928
Sportif par amour 1927
Le mécano de la général 1926
Fiancé en folie 1925
Ma vache et moi 1925
Sherlock Junior 1924
Les lois de l'hospitalité 1923
Les trois âges 1923

Le Mécano de la Général
Résumé : Johnnie souhaite aller dans l'armée durant la Guerre de sécession. Il se fait refuser en lui disant qu'il est mieu en mécanicien. Pour prouver à son amour, Annabelle, qu'il est capable et qu'il n'est pas un lâche comme elle le prétend, il se met à la poursuite d'espions qui ont volé sa locomotive. Dans cette poursuite, tout les coups sont permis pour ralentir l'autre.   

Le jeu physique et la rapidité du mouvement : 5:15 le personnage de Buster Keaton tombe dans les marches.

Bastonade : En essayant de rattraper le train, Jonnhie tombe en vélo.

Gag : 20:30 Le personnage active la canon et le boulet. Le boulet retombe dans son train sans faire aucun dommage.

Slapstik: Jonnhie est sous la table et il reçoit plusieurs coup ou se fait brûler le coude par une cigarette.

Running Gag : 39:30 Jonnhi et Annabelle sont dans la foret.Annabelle se prend le pied dans un piège à ours. Jonnhi en essayant de l’aider se met les mains dedans pour finalement se ramasser le pied pris dans le piège.

Critique : J'ai trouvé le film très divertissant. Plusieurs cascades sont exécuté et tout semble facile à réaliser, alors que de filmer avec des trains à dut être tout un défi. Une blague n'attend pas l'autre ce qui le rend amusant et facile à regarder.